Association pour
la Régulation et la Protection
des Animaux Familier
Soutenons le référendon pour les
animaux ici
Nous
sommes Unis à cette action: journée mondiale pour
les animaux


         
Voir le dossier de presse
ICI
Programme TERR’ANIMALIA 2020 : 10h00/18h00
(entrée libre)
RENCONTREZ
LES ASSOCIATIONS (les 2 jours)
ONE VOICE Droit absolu des animaux au respect.
SEASHEPHERD—Protection des océans et du vivant
A.S.P.A.S –Protection des animaux sauvages
SOPTOM –Protection et sauvegarde des tortues
SANS FERS NI MORDS –Protection des équidés
A.R.P.A.F –Stérilisation des chats errants et protection
des animaux familiers
PARTI ANIMALISTE – Défense du statut animal
KALAWEIT—Protection des gibbons en Indonésie
PAPAYE INTERNATIONAL –Protection des chimpanzés
S’PECE—Protection, de l’environnement et des espèces.
FROM JOY TO ANIMAL –Communication animale
ANIMAUX SANS FRONTIERE (dimanche )
L214 (dimanche )Protection animale, conditions d’élevage.
C’EST ASSEZ (dimanche) -Protection des Cétacés,
lutte contre les delphinariums
LA FONDATION B.BARDOT - Protection animale.
AU SERVICE DES ANIMAUX 06 –sauvetage et stérilisation
SAMEDI
ET DIMANCHE
EXPOSITION DES ŒUVRES DE Carole Anne et Chrystel LELEU sur
le thème de l’animal – peinture et dessins.
SAMEDI
12 SEPTEMBRE
LES ANIMATIONS
14h30 ATELIER ENFANTS « Dessin » animé par Chystel
LELEU Artiste peintre .
JEUX DE L’OIE : animé par l’association S’PECE
EXPOSITION de L 214 « les animaux d’élevage »
15h00 CONFERENCE de l’association S’PECE « Les
requins sont ils nos amis ou nos ennemis ?
16h30 CONFERENCE « La nutrition éthique »Par
Me PUTZ Nutritioniste, naturopathe et Mr HOUMRIA Sophiane cardiologue
17h30 Cinéma «MARCHE AVEC LES LOUPS » de JM BERTRAND—Salle
Iris Barry .Entrée libre
DIMANCHE 13 SEPTEMBRE
11h00 Arrivée de la course « Courir pour un animal
» Théme Contre la chasse à la glue. Mahamadou
SIRIBIE de
l’ Association « le sport au service des animaux »
Exposition de L 214
JEUX DE L’OIE, animé par l’Association S’PECE
15h00 CONFERENCE par l’association C’EST ASSEZ «
Pour une France sans delphinarium »
17h OO Cinéma : PEACEABLE : Parole d’éleveurs
qui ont cessé de l'être, pas par contrainte économique,
mais parce qu'ils n'ont pu continuer d'ignorer la sensibilité,
la personnalité et l'intelligence des êtres vivants
qu'ils conduisaient à l'abattoir .Salle Iris Barry .Entrée
libre
En raison de la pandémie de COVID ce programme est suceptible
d’être modifié
INFOS +
Food truck Just vegan -dimanche
Buvette : sur place les 2 jours
Les chiens de petite et moyenne taille sont acceptés sur
le salon en extérieur uniquement et doivent être tenus
en laisse.
Chiens catégorisés interdits.
COVID : Port du masque obligatoire sur tout l’espace du salon.
Gel hydroalcoolique à l’entrée .
Gangrénée par le lobby de la chasse,
la Société Centrale Canine est CONTRE le référendum
pour les animaux.
Peut-être
en avez-vous déjà entendu parler : dans le domaine
de la Protection Animale, le Référendum pour les Animaux
est sur toutes les lèvres(1).
Ce référendum
a pour but de permettre, grâce au R.I.P. (Référendum
d’Initiative Partagée), aux citoyens et citoyennes
de soumettre une proposition de loi. Ce projet propose 6 nouvelles
mesures :
Et notamment, l’interdiction de traquer, torturer, et abattre
des animaux pour se divertir : la chasse à courre.
Les six mesures proposées par le Référendum
sont les suivantes :
- L’interdiction de l’élevage en cage
- L’interdiction des élevages à fourrure
- La fin de l’élevage intensif
- L’interdiction des spectacles avec animaux sauvages
- La fin de l’expérimentation animale quand une alternative
est possible
- L’interdiction de la chasse à courre
C’est
sur cette dernière mesure que nous allons nous pencher –
car elle touche directement les chiens.
La chasse à
courre est pratiquée par 300 à 400 riches aristocrates
en France – une minorité. Elle consiste à traquer
un animal, souvent un cerf, jusqu’à épuisement
à l’aide d’une meute de chiens et de cavaliers.
Le but n’est
pas de se nourrir – le corps de l’animal est ensuite
jeté aux chiens ; la tête est utilisée comme
trophée.
Le but n’est
pas non plus d’abattre l’animal sans souffrance. Au
contraire, la poursuite et la mise à mort sont volontairement
longues et scénarisées(2). La bête est choisie
par les chasseurs ; traquée toute la journée jusqu’à
l’épuisement ; affaiblie à coups de morsures
; puis achevée à l’arme blanche.
Cette torture
a pour unique objectif de divertir quelques centaines de chasseurs,
assez riches pour s’offrir des chevaux, et une meute de chiens
sortis que quelques fois par an au moment de la chasse.
Parlons-en justement,
de ces chiens.
Les chiens de vénerie sont considérés comme
des outils de travail.
Regardez les enquêtes et sauvetages réalisés
par des associations de protection animale. La plupart des rescapés
sont des chiens issus d’élevages de chasse.
Par exemple,
en juillet dernier, 30 chiens de chasse ont été retrouvés
attachés dans une forêt, livrés à eux-mêmes,
affaiblis et malades. Personne ne s’occupait d’eux –
normal, ce n’était pas la saison de la chasse.
Il ne s’agit
pas d’un cas isolé. Les chiens de vénerie ont
la vie dure.
Ils passent leur temps enfermé dans des chenils étroits,
les uns sur les autres.
S’ils
tombent malades, personne ne les soigne – après tout,
pourquoi s’embêter à payer un vétérinaire
?
Quelques jours
avant la chasse, on les affame, afin de les rendre plus nerveux.
Ces chiens ne
connaissent ni le confort d’un foyer ni la chaleur d’une
caresse. Ils sont élevés dans l’unique but de
servir les chasseurs.
Il
semblerait donc logique que tous les acteurs du monde canin se prononcent
en faveur du référendum pour les animaux, n’est-ce
pas ?
Et bien non. La Société Centrale Canine s’est
prononcée contre – dans l’unique but de maintenir
la chasse à courre !
Dans un communiqué du 5 août 2020, la SCC (Société
Centrale Canine) déclare :
« [Le
Référendum d’Initiative Populaire pour les Animaux]
vise, entre autres mesures, à obtenir l’interdiction
de la chasse au chien courant (chiens courants, terriers et teckels).
La Société Centrale Canine n’est pas une organisation
cynégétique, mais nous savons qu’une telle interdiction
aboutirait à l’extinction de plus de 40 races sur les
58 races nationales françaises. (…)
En conclusion,
nous nous engageons fermement sur :
- Le maintien et la défense des races patrimoniales françaises.
- Le maintien des activités de sélection pratiquées
en France depuis plus d’un siècle voire plusieurs siècles.
»
En bref : la
SCC refuse de soutenir le Référendum pour les Animaux…
afin de protéger la chasse à courre(3).
Son excuse :
interdire la chasse à court reviendrait à l’extinction
des races de chien de chasse.
Mais bien sûr.
Le combat de chiens a été aboli depuis longtemps ;
et pourtant, on retrouve toujours des Staffs, des Rottweilers, des
Bouledogues Anglais, des Bulls Terrier, qui mènent une vie
heureuse au sein d’une famille aimante. Cette interdiction
a été une aubaine pour eux.
Ce ne sont pas
300 chasseurs qui entassent leurs animaux en chenil pour les sortir
une fois par an, qui vont « sauver » des dizaines de
races. On n’est pas dupes.
L’immense
majorité des éleveurs, censée être représentée
par la SCC, se sent trahie.
La plupart des
éleveurs exercent leur métier par passion pour le
chien. Pour eux, le Référendum est une bonne nouvelle.
Alors quand la SCC déclare se porter parole en étant
pour la chasse à courre, et contre le référendum,
cela donne une bien piètre image de leur métier.
Le problème
est que la SCC est complètement gangrénée par
le lobby des chasseurs.
Le président
de la SCC, Gérard Thonnat, est un spécialiste de la
chasse, qu’il pratique avec ferveur. (4)
Pas étonnant,
donc, que lui et ses petits copains se prononcent contre le référendum.
Les éléphants
peuvent continuer d’être exploités dans des cirques
; les poulets, porcs, et lapins élevés dans des cages
minuscules et insalubres ; les Beagles inlassablement soumis à
des tests douloureux… Tant que ces messieurs pourront satisfaire
leurs caprices, et mettre à bas des proies torturées
et à bout de souffle.
Le
divertissement prime.
Ce n’est pas la première fois que la SCC défend
les chasseurs.
Récemment, elle a permis (et même encouragé
!) l’organisation de test d’aptitude à la chasse
des chiens nordiques :Lors
de l’affaire du chien Curtis, et de son humaine Elisa Pilarski,
un « comportementaliste » représentant la SCC
avait dit, lors d’une émission sur RMC : « [Les
Staffs] sont particulièrement connus pour leur agressivité
dans leur comportement interspécifique » – c’est-à-dire
envers les autres espèces(5). Comme l’Homme, par exemple.
La
SCC est sensée promouvoir chaque race, sans discrimination
– et là, en sous-entendant que les Staffs sont des
monstres sanguinaires capables de manger leur propre maître,
elle fait exactement le contraire.
Curtis,
comme tous les chiens catégorisés, est condamné
pour « délit de sale gueule », et les chasseurs,
également suspectés dans cette affaire, s’en
sont encore une fois bien tirés.
Le
lobby de la chasse est clairement très actif au sein de la
SCC.
Heureusement,
elle n’est pas la représentante des passionnés
du chien. Vous l’êtes. Vous aussi avez votre mot à
dire.
Je
vous invite à vous rendre sur le site du Référendum
pour les Animaux. Si vous souhaitez vous engager, vous pouvez apporter
votre soutien au référendum. Je l’ai fait, et
plus on sera nombreux, plus ces réformes pourront aboutir.
Aller
sur le site du référendom
Pour donner
suite au décès d'un ami, nous recherchons d'urgence
une nouvelle famille ayant un jardin pour MAYA
C'est un superbe
chat de 6 ans, vacciné et opéré.
Il est habitué
à sortir.
Il
est affectueux et assez craintif. 06 12 51 61 15
 


Extrait des nouvelles de Chiens
vie et santé
Comment
casser une voiture pour sauver un chien de l’hyperthermie
Chaque
été, des chiens sont laissés dans des voitures
sans surveillance Un coup de chaud tue un chien en moins de 20 minutes
dans une voiture, même par temps doux.Devant un chien enfermé
dans une voiture en plein mois d’août, la plupart des
gens chercheront à le sortir de làMalheureusement,
même s’il faut agir vite, il y a des étapes à
suivre si vous voulez éviter d’avoir des problèmes.
Le propriétaire de la voiture peut se plaindre.
Il ne suffit
donc pas de casser la vitre et de quitter les lieux avec le chien.
Voici les précautions
à prendre pour sauver un chien de l’hyperthermie dans
une voiture?:
Téléphonez
au commissariat ou à la gendarmerie.
Expliquez la situation et demandez l’assistance d’un
représentant de l’ordre.
Téléphonez à une association de protection
animale locale.
Informez-la aussi de la situation et expliquez-lui que vous pourriez
être amené à casser une des vitres.
Si vous n’avez toujours pas la présence d’un
représentant de l’ordre et que la situation se complique,
demandez à deux personnes de rester auprès de vous.
Ils pourront témoigner de votre bonne foi si besoin.
Cassez une vitre latérale et emmenez le chien dans un endroit
frais jusqu’à l’arrivée du représentant
de l’ordre.
En expliquant bien la situation aux forces de l’ordre, en
ayant des témoins et avec l’association de protection
animale qui vous épaulera, vous ne devriez pas avoir de problème
si le propriétaire de la voiture vous demande des comptes.
La
loi est aussi très claire à ce sujet?: «N’est
pas pénalement responsable la personne qui, face à
un danger actuel ou imminent qui menace elle-même, autrui
ou un bien, accomplit un acte nécessaire à la sauvegarde
de la personne ou du bien, sauf s’il y a disproportion entre
les moyens employés et la gravité de la menace.?»
Les chiens laissés dans des voitures ne sont pas les seuls
à succomber à une hyperthermie.
Même si vous faites très attention à votre chien,
le risque zéro n’existe pas.
Certains animaux
sont plus sensibles que d’autres et peuvent facilement subir
un coup de chaud.
C’est
le cas lorsque le chien :
Est simplement
attaché en extérieur sous le soleil,
Est obèse,
A des problèmes cardio-respiratoires (souvent lié
à l’obésité),
A fait un exercice important,
A des difficultés à respirer à cause de sa
race et ne peut donc pas se protéger de la chaleur correctement.
C’est le cas des chiens à la gueule «?écrasée?»
(Boxer, Bouledogue, Carlin, Pékinois…)
C’est
à vous de prendre vos précautions pour lui éviter
cette souffrance.
Évitez
les sorties durant les heures de fortes chaleurs (aux alentours
de midi), mettez toujours un bol d’eau fraîche à
disposition et évitez de laisser votre animal dans un espace
clos ou peu aéré.
Comment
sauver son chien en adoptant les bons gestes.
Si
malgré vos précautions votre chien commence à:
Avoir de la
fièvre,
Faire des malaises, des pertes de connaissances,
Avoir les muqueuses qui deviennent bleues ou violacées,
Trembler comme s’il avait froid,
Respirer de manière accélérer avec la bouche
qui reste ouverte,
Vomir,
Avoir des diarrhées,
Ou être dans un état comateux, c’est qu’il
est peut-être victime d’un coup de chaleur.
Sachez que pour
soigner un chien victime d’un coup de chaud, il y a deux écoles.
Certaines personnes
pensent qu’il faut mettre son chien progressivement dans de
l’eau froide pour ne pas provoquer un choc thermique1. Les
vaisseaux qui permettent l’évacuation de la chaleur
se contracteraient brusquement. Avec le changement important de
la température du corps, ils ne pourraient plus l’évacuer
correctement.
D’autres,
comme le Docteur Thierry Bedossa, vétérinaire et comportementaliste,
considèrent qu’il faut immédiatement le plonger
dans de l’eau très froide voire, lui mettre un sac
de glaçons sur la tête.
Difficile de
savoir ce qu’il faut faire entre ces deux méthodes
complètement opposées.
Par précaution,
je préfère refroidir mon chien progressivement et
éviter un choc thermique.
Pour savoir
comment procéder, je vous conseille d’immédiatement
appeler votre vétérinaire. Il vous conseillera sur
les soins à appliquer pour sauver votre chien.
Évitez
de le transporter directement chez le vétérinaire.
Le temps de trajet peut être fatal – surtout si votre
chien a fait son coup de chaud dans une voiture.
Rappelez-vous
que le plus important est de rafraîchir votre chien. Vous
le ferez plus rapidement chez vous, dans votre baignoire, que dans
votre voiture en vous rendant chez votre vétérinaire.
Je vous conseille
aussi de sortir l’animal de l’environnement dans lequel
il a déclenché ces symptômes. Lui trouver un
endroit frais est primordial.
Présentez-lui
de l’eau fraîche mais ne l’obligez pas à
boire. Votre chien saura s’il en a besoin et en quelle quantité.
Une fois que
votre chien s’est rafraîchi, emmenez-le chez votre vétérinaire.
Une perfusion
peut s’avérer nécessaire pour réhydrater
correctement l’animal. Votre vétérinaire va
aussi vérifier les fonctions rénale et cardiaque de
votre chien, surveiller sa coagulation, et même devoir lui
administrer des corticoïdes pour éviter un œdème
mortel au cerveau dans certains cas.
Rappelez-vous
que si vous vivez mal la chaleur, elle est encore plus étouffante
pour votre chien.
Votre
chien pourrait vivre le double de la moyenne… Si ce n’était
pour ces 3 fléaux.
1/
Une explosion de 900% du diabète chez le chien
Tel le prouve l’étude1 réalisée par ‘Animal
Friends’, en Grande-Bretagne, qui a suivi des milliers d’animaux
pendant 5 ans.
Les résultats
sont ahurissants. Les 5 dernières années, le nombre
de diagnostiques de chiens diabétiques a été
multiplié par 9. 9 fois plus de chiens qui souffrent d’une
maladie qui raccourcit leur espérance de vie, et qui pourtant
aurait pu être évitée.
Le
chien souffre d’une soif intense, constamment. Il se vide
de son énergie, il maigrit de jour en jour. Il vomit, et
urine en grande quantité. Souvent, le diabète est
accompagné d’une cataracte, ou de cystites à
répétition
2/
la croissance exponentielle de l’obésité morbide
Selon une étude
menée aux États-Unis, tous les 5 ans, les cas d’obésité
doublent chez le chien2. En France, un tiers des chiens est en surpoids
sévère3. Résultat direct sur nos chiens : l’arthrose
explose ; des infections rénales et urinaires se multiplient
; les foies se détériorent.
Paradoxalement,
on a aussi une hausse des stérilisations systématiques
pour un peu toutes les raisons, et une hausse de la vente des croquettes
chez les vétérinaires (alors qu’avant, nos chiens
mangeaient des restes). Mais ne tirons pas de conclusions hâtives.
3/
un chien sur deux meurt du cancer
C’est
sans doute la pire statistique sur les maladies qui pourtant, pourraient
être évitées. La moitié de nos chiens
succombe à cause d’un cancer4 – souvent prématurément.
De tous les animaux sur la planète, c’est la première
victime des tumeurs. Et dans la majorité des cas, elles auraient
pu être évitées.
Pourquoi
nos chiens ne vivent-ils pas plus longtemps ?
Et que pouvons-nous faire pour profiter le plus longtemps possible
de notre plus fidèle compagnon ?
Le Dr Levin
est un des chercheurs qui a participé à cette étude.
Il explique que, dans les années 70, alors qu’il sortait
d’école vétérinaire, la moyenne d’âge
du Golden Retriever était de 17 ans. Aujourd’hui, la
plupart d’entre eux meurent à 10 ans.
Dans 10% des
cas, les cancers sont génétiques. On ne peut pas faire
grand-chose.
Mais
qu’en est-il des autres 90% ? Ces chiens-là meurent
de causes environnementales.
9
cancers sur 10 pourraient être évités…
en changeant quelques habitudes de vie.
Voici les 5 facteurs sur lesquels votre influence va être
décisive pour la santé de votre chien.
Les chercheurs se sont penchés sur ces 90% de cancers restants
chez nos chiens. Ces cancers ne sont pas génétiques
: alors quelle en est la cause ?
Les
chercheurs ont déterminé 5 facteurs décisifs
:
Les
toxines et la pollution - les antiparasitaires à base de
pesticides, par exemple, ont des conséquences néfastes
et immédiates sur la santé de nos chiens.
La
sédentarité : nos chiens passent la journée
allongés dans leur panier ; hormis l’heure de promenade
quotidienne, on ne sait plus les occuper, alors qu’il existe
une multitude d’activités faciles et enrichissantes
pour votre chien.
Les
infections diverses, comme les vers du cœur, les tiques, ou
les différentes bactéries qui pourraient être
évitées avec les aliments adéquats et un système
immunitaire solide.
Le
stress, qui a considérablement augmenté chez le chien
depuis que la société nous impose d’avoir un
chien « obéissant » à tout prix ; depuis
qu’on banalise les coups de collier, les secousses par la
peau du cou.
Et,
le facteur le plus important : l’alimentation. Une mauvaise
alimentation va aggraver l’obésité chez le chien,
mais surtout lui faire avaler des quantités phénoménales
de toxines quotidiennement.
En
refuge, un labrador a beaucoup plus de chance de se faire adopter
qu’un mélange d’on ne sait quoi. Est-ce à
cause du prestige de la race ? Parce que les gens pensent (à
tort), qu’avec telle ou telle race de chien, ils obtiendront
le caractère rêvé pour leur animal ? Qui sait.
Une minorité de chiens de race viennent d’élevage
consciencieux. Ces derniers prennent soin de varier au maximum le
patrimoine génétique de leur cheptel. Par exemple,
ils sont prêts à aller dans un autre pays pour trouver
le papa de leur future portée. Ainsi, ils s’assurent
que le chien reproducteur n’est pas un cousin éloigné.
On évite la consanguinité, et on donne aux chiots
une chance d’être en excellente santé, toute
leur vie.
Hélas,
la majorité des chiens de race ne bénéficient
pas d’un tel patrimoine génétique.
Dans les élevages
intensifs, il est bien plus rentable de faire reproduire toujours
le même mâle, avec quelques femelles. Certaines qui
ont un lien de consanguinité très proche avec leur
reproducteur. Par exemple, il n’est pas rare de laisser un
père s’accoupler avec sa progéniture…
générant ainsi de graves tares génétiques.
Mais peu importe
! Du moment qu’on obtient un carlin avec un museau très
écrasé ; un Basset avec les paupières très
tombantes ; ou un Shar-pei avec la peau très plissée,
on est prêt à tout. Car après tout, c’est
ce que le consommateur recherche…
Et
c’est ainsi que certaines tares se sont développées
chez les chiens de race. Voici les plus communes.
Des Rottweilers dysplasiques et des Teckels paralysés Une
recherche menée par des chercheurs à l’université
de California-Davis a étudié 24 maladies génétiques
répandues chez le chien, de 1995 à 2010¹. Différents
cancers ; troubles cardiaques ; endocriniens ; orthopédiques…
Sur
ces 24 maladies, 10 étaient manifestement plus répandues
chez les chiens de race (indépendamment d’éventuels
liens de consanguinité).
Celles
qui étaient aussi communes chez les croisés que les
chiens de race étaient, entre autres :
Tous les types de cancer (ce qui n’est pas surprenant, puisque
90% des cancers sont liés à des causes environnementales)²
;
Certaines maladies cardiaques, comme la communication interventriculaire
La dysplasie des hanches (bien que souvent, cette maladie soit plus
commune chez les croisements de grandes races, comme le croisé
labrador, Bouvier Bernois, Rottweiler…).
Mais
10 maladies sont effectivement plus présentes chez les chiens
de race :
La
sténose aortique, une maladie cardiaque très présente
chez le Terre-neuve, mais aussi le Berger Allemand, le Boxer, le
Golden Retriever et le Rottweiler. Le Basset Hound, le Bull-terrier,
le Bouledogue, le Corgi et le Dogue allemand ne sont pas non plus
à l’abri³.
Cette
maladie est un rétrécissement de l’aorte, un
gros vaisseau qui part du cœur, pour répartir le sang
oxygéné dans tout l’organisme. Chaque effort
devient coûteux pour le chien : il peut faire des syncopes,
et les crises cardiaques sous forme d’une mort subite ne sont
pas rares.
La
cardiomyopathie dilatée est quand les cavités cardiaques,
et notamment les ventricules, sont dilatées. Le cœur
ne peut ainsi par assurer sa fonction de pompe, conduisant à
l’insuffisance cardiaque, et un risque de mort subite.
Il
est particulièrement répandu chez les très
grandes races : le Berger Allemand, le Boxer, le Dogue de Bordeaux,
le Caniche, le Golden Retriever, le Rottweiler, le Labrador, le
Mastiff…
L’hypothyroïdie,
quant à elle, est particulièrement répandue
chez le Beagle, le Caniche, le Chow-chow, le Doberman, le Golden
Retriever, le Poméranien, le Setter irlandais, le Shar-pei,
le Shetland, et le Teckel. Les symptômes sont très
variables : un manque d’appétit avec pourtant une prise
de poids ; fatigabilité ; intolérance au froid ; poil
terne et clairsemé…
La
dysplasie du coude, où l’articulation mal emboîtée
mène à des douleurs arthrosiques sévères,
est très répandue chez le Labrador, Golden, Rottweiler,
Bouvier Bernois, Berger Allemand, Saint Bernard, Mastiff, et le
Basset Hound.
La
dégénérescence des disques intervertébraux,
qui cause de fortes douleurs lombaires aux chiens, est extrêmement
répandue chez le Teckel – sans grande surprise, puisque
le standard des élevages a voulu allonger son dos au maximum,
au mépris de sa santé. Pour les mêmes raisons,
le Corgi et le Basset sont particulièrement touchés,
mais aussi d’autres races, majoritairement de petite taille,
comme le Beagle, le Bouledogue, le Shitzu, le Carlin, le Jack Russel,
le Lhassa Apso, le Caniche toy, et le Cavalier King Charles.
Certaines
races sont aussi plus sensibles aux allergies, et notamment aux
dermatites, comme le Bouledogue français ou anglais, le Westie,
le Bull-terrier, le Jack Russel, le Labrador, le Golden, et le Boxer.
Le
retournement d’estomac, lui, touche particulièrement
le Saint Bernard, le Setter Irlandais, le chien de Saint-Hubert,
le lévrier irlandais, et le Dogue allemand.
Les
Caniches toy, les Terriers australiens à poil soyeux (très
proches du Yorkshire), les Terriers de Boston (très proches
du bouledogue) étaient très sujets aux cataractes.
L’épilepsie,
quant à elle, touchait particulièrement les Beagles,
Épagneuls Papillon, et les Caniches.
Enfin,
le Shunt du foie (une dérivation de la circulation sanguine
d’où résulte un mélange des sangs artériels
et veineux), touche particulièrement le Bichon Maltais, le
Yorkshire, et le Carlin.
Petits
conseils concernant les friandises et l'éducation de votre
chien
Les 3 caractéristiques d’une excellente friandise
L’appétence
En éducation, la friandise doit avoir de la valeur pour votre
chien. Choisissez une récompense appétissante. Donnez-lui
une bonne raison de s’asseoir et de faire le beau plutôt
que d’aller jouer avec ses copains.
Une erreur fréquente
est de donner au chien des croquettes en guise de friandise. Certes,
on contrôle ainsi son poids plus facilement. Mais les croquettes
ont peu de valeur : Médor en ingère des dizaines et
des dizaines quotidiennement.
N’ayez
donc pas peur de salir vos poches avec des friandises humides (ex.
: knackis), des morceaux de viande séchée, des boulettes
de panse. Médor vous en sera reconnaissant, et son éducation
sera un réel plaisir.
Une taille adaptée
Pendant l’apprentissage d’un nouvel exercice, il faut
récompenser très régulièrement. C’est
primordial pour entretenir la motivation du chien.
Ainsi, je privilégie
toujours une friandise la plus petite possible. Mieux vaut donner
5 fois 2 g de Knacki, qu’une fois 10 g. L’apprentissage
de l’exercice est ainsi plus aisé, et mes chiens ne
risquent pas d’être en surpoids.
Gardez
en tête que nos chiens sont bien plus petits que nous. Donner
une tranche de saucisson à un chien de 10 kg revient à
donner 7 tranches à une personne de 70 kg.
Une composition optimale
On applique les mêmes règles que pour les croquettes
: un maximum de viandes, un minimum de glucides, et aucun additif
chimique.
Voici
pour exemple la composition de la friandise préférée
de Maki : de la viande de dinde séchée à basse
température... Et rien d’autre?!
Ces
petits bâtonnets de viande séchée sont pratiques,
puisqu’on peut les découper en petits morceaux et récompenser
à foison lors de séances éducatives. Car n’oublions
pas : même si la composition de ce type de friandise est optimale,
leur apport calorique reste non négligeable, alors surtout
n’hésitez pas à les couper en petits morceaux.
Autre
technique : si au cours d’une journée, vous avez beaucoup
récompensé votre chien, diminuez sa prochaine portion
de croquettes en fonction. Ainsi, il ne risque pas de prendre du
poids.
La friandise propulsera l’éducation
de votre chien. Voici comment.
Comment la friandise entre-t-elle dans un cycle d’apprentissage?
Pour mieux illustrer ma méthode, je vous donne un exemple
concret : apprendre à votre chien à sauter sur une
chaise, s’asseoir dessus, et lever la patte.
Segmenter l’exercice, c’est mettre son chien en position
de réussite
L’apprentissage s’organise par étape. Ainsi,
vous placez votre chien dans une position de réussite. Apprendre
à Maki à sauter sur la chaise, s’asseoir et
donner la patte en une seule fois est très difficile. Il
échouera des dizaines de fois avant de réussir l’exercice.
C’est ainsi qu’un chien perd sa motivation. Je segmente
donc l’exercice en 4 étapes. Chacune a sa dose de récompenses.
Première
étape
: lui apprendre à s’asseoir – et récompenser
chaque fois que l’exercice est réussi. Facile?!
Deuxième
étape
: donner la patte — donner une friandise dès que le
chien lève la patte, puis quand il la pose dans votre main.
Troisième
étape
: poser ses pattes avant sur la chaise — récompenser.
Quatrième
étape
: sauter pour y mettre également ses pattes arrière
– récompenser.
Enfin,
vous associez ces quatre étapes en un petit numéro,
au cours duquel vous récompensez régulièrement.
Sauter sur la chaise (puis donner une friandise), s’asseoir
(friandise), donner la patte (friandise), puis descendre de la chaise
(friandise).
Peu
à peu, réduisez les friandises jusqu’à
ce que le chien ait compris l’exercice : vous ne donnerez
alors une friandise qu’une fois l’intégralité
du numéro effectué.
Récompenser au quart de seconde près
Le timing de la récompense est primordial. Prenons l’apprentissage
du «?donne la patte?». Votre chien doit comprendre qu’au
moment où il lève la patte, c’est gagné.
Il faut donc le récompenser dans la demi-seconde qui suit.
Pas
très pratique : farfouiller au fond de ma poche pour trouver
une friandise prend parfois 3 à 4 secondes. D’ici là,
Maki a le temps de se lever, d’aboyer, et de me sauter dessus
pour me lécher le visage. Quand il reçoit enfin sa
friandise, il ne sait plus quelle action je récompense.
C’est
pour cela qu’il est crucial d’associer la friandise
à un signal sonore. Un son que vous émettez systématiquement
avant de donner la friandise. Exemple : un mot encourageant, avec
toujours la même intonation joyeuse, comme un «?ouiii?!?».
Un
autre outil formidable est le «?clicker?» — un
petit boitier qui clique, et qui fait des miracles dans l’éducation
du chien.
Voir
la vidéo sur le site
Trop
souvent, c’est la croquette qui est responsable du tartre,
des problèmes digestifs, de l’obésité,
de la mauvaise haleine…
je
souhaite vous parler d’une méthode d’alimentation
alternative, qui commence à voir le jour. Cette méthode,
la plus naturelle possible, s’appelle le BARF — «?Biologically
Appropriate Raw Food?». En français : «?nourriture
crue biologiquement appropriée?».
Le BARF : le régime carnivore par excellence
Le principe du BARF : une alimentation naturelle, la plus proche
possible de celle d’un chien à l’état
sauvage. En moyenne, cela donne environ :
30 % d’os
charnus
30 % de viandes diverses (dont 5% de poisson)
20 % d’abats (foie, panse, cœur…) ;
20% de fruits et légumes divers ;
Parfois, un œuf avec sa coquille broyée?; ou autres
compléments alimentaires tels que l’huile de sardines.
Le tout étant
toujours donné cru. On retrouve ainsi le régime du
loup, qui attrape une proie. Le loup mange tout le muscle, se nourrit
des abats, ronge les os… Occasionnellement, il mange aussi
des fruits murs tombés des arbres. Son apport en végétaux
se fait aussi par la panse de ses proies, souvent remplie de verdure.
Il est bon de
rappeler que le chien partage 99,8 % de son ADN avec le loup…
Il parait donc logique que leurs besoins nutritionnels soient semblables.
Poil brillant, silhouette d’athlète, haleine saine,
appétit, immunité… Grâce au BARF
Voici les bienfaits du BARF que j’ai trouvé dans mes
recherches. Je les ai réellement observés sur Pénélope,
Maki et Merlin. Absolument bluffant.
Allez donc visiter
son site internet, il explique tout ça mieux que moi.
Attention
suite au COVID 19
Plusieurs
chats ( et même des chiens ) ont été reçus
chez leurs vétérinaires ces derniers jours pour de
nouveaux motifs de consultation:
- Le coma éthylique pour les chats lavés au gel hydroalcoolique
- Des intoxications et même des brûlures cutanées
à cause d'utilisation de désinfectant sur les animaux.
Si
vous voulez nettoyer vos animaux au retour d'une ballade utilisez
de l'eau et du savon et rincez bien ensuite !
Article
rédigé en partie par Chiens vie et santé merci
à Claude Lefevre
Avez-vous
déjà été témoin d’un acte
de maltraitance – sans savoir comment agir ?
Peut-être
était-ce un animal enfermé dans une voiture au soleil
; un chien qui n’est jamais sorti d’un appartement ;
ou qu’on entend se faire battre régulièrement.
Souvent,
on se sent démunis face à ces situations. Faut-il
attendre que le chien suffoque avant de briser la vitre de la voiture
? Qu’il soit sur le bord de la mort avant de le retirer de
force à ses propriétaires ? La loi vous le permet-elle
?
Nous
avons une définition très large de la maltraitance.
Nous considerons
que:
—laisser
un chien vivre dehors attaché à un piquet, c’est
le maltraiter.
—Ne
jamais le promener, c’est le maltraiter.
—
Le nourrir à base de restes de pâtes et lui donner
des sucres à en devenir obèse, c’est le maltraiter.
—Un
chien qui n’a pas d’eau ou de nourriture équilibrée
à sa disposition, ou en quantité insuffisante.
—Un chien qui, en cas de blessure ou de maladie, n’est
pas soigné jusqu’à son rétablissement.
—Un chien enfermé dans un local sans lumière,
insuffisamment chauffé ou surchauffé, ou dans des
conditions incompatibles avec ses nécessités physiologiques.
Malheureusement
la loi ne punis pas un propriétaire si:
un
chien qui vit dehors attaché à un piquet n’est
pas considéré comme maltraité - du moment qu’il
a une niche et une laisse d’au moins 3 m de long. Pas besoin
de le promener ,de le caresser ou de l’occuper.
C’est
une évidence : les lois sont complètement déconnectées
de la réalité ; de ce dont un chien a réellement
besoin pour vivre, tout simplement. Non, il ne suffit pas d’une
niche, d’une gamelle d’eau et de quelques croquettes
pour échapper à la maltraitance !
À nous
d’agir ! Que faire si vous êtes témoin de maltraitance
?
Nous
avons le devoir de dénoncer ces actes de maltraitance quotidienne.
Nous ne pouvons pas uniquement compter sur la justice pour les sauver.
Chacun doit faire sa part.
Mais
comment faire ? Qui appeler ?
Il
faut distinguer deux cas.
Premier cas : un chien est maltraité,
négligé, mais il n’y a pas d’urgence.
La première
chose à faire est de prévenir les autorités.
Il peut s’agir de la gendarmerie, du commissariat de police
(17), ou des services de la préfecture. Vous pouvez également
contacter les services vétérinaires de la DDPP (Direction
Départementale de la Protection des Populations).
Vous
pouvez aussi nous appeler . Voire le numéro en page devenir
membre.
Nous
avons des bénévoles pour enquêter, monter un
dossier, collecter des preuves afin de porter plainte. Seul inconvénient
: enous ne pouvons pas saisir un animal maltraité sans être
mandatées par les autorités.
En attendant
l’arrivée des associations, rien ne vous empêche
de collecter des preuves vous-même. Prenez des photos du pauvre
chien enfermé sur le balcon. Filmez les bourreaux qui traînent
leur chien derrière une voiture. Recueillez les témoignages
des voisins qui tous les soirs entendent l’animal se faire
battre.
Et
retirer l’animal violenté pour le sortir de ce calvaire
? Ce n’est malheureusement pas si simple. La loi vous interdit
de pénétrer dans une propriété privée,
d’agir avec violence, ou de recourir à des moyens illicites.
Si vous kidnappez un chien battu pour le sauver, vous pourriez tout
simplement vous faire accuser de vol.
Deuxième
cas : la situation d’urgence.
Une
situation pour laquelle une intervention immédiate est nécessaire,
sans quoi l’animal va mourir. Dans
une telle situation, appelez tout de suite le commissariat de police
-au 17 ou au 112.
S’ils
mettent trop de temps à arriver, et que le chien est en danger
de mort imminente, alors vous pouvez exceptionnellement agir. Vous
pouvez entrer dans une propriété privée. Vous
pouvez retirer le chien à son propriétaire. Cela s’appelle
l’état de nécessité.
L’article
122-7 du code de procédure pénale vous autorise à
intervenir « face à un danger actuel ou imminent qui
menace elle-même, autrui, ou un bien ». Il faut néanmoins
que votre réaction soit proportionnée à la
gravité de la menace. Quand vous le pouvez, essayez juste
de parler avec le malfaiteur. Proposez-lui de le décharger
de son chien en le prenant chez vous. Et si c’est impossible,
essayez au maximum de récolter des preuves de sa maltraitance
avant d’agir. Appelez une association de protection animale
pour lui décrire la situation, et la prévenir que
vous allez agir. Cela vous évitera d’éventuelles
poursuites pour vol.
La
justice n’est malheureusement pas du côté de
nos amis poilus. C’est à nous de faire en sorte que
le peu de lois qui les protègent soient appliquées.
Voici
la dernière action menée par notre Association
Avec
l'intervention de la Gendarmerie de Fayence et la Police municipale
de Tourrettes ainsi que l'aide des Associations "Un coeur entre
quatres pattes les Esterets" et "Brigade de Défense
Animale et Humanitaire à Puget sur Argens", Notre président
accompagné de la secrétaire ont saisis 2 chiens aux
"Jardins de Provence à Tourrettes". Malgré
une première mise en garde, le propriétaire n'a pas
changé son comportement, les chiens étaient attachés
à 50 cm de chaine, la femelle avait un abris en bois mais
pas le mâle. Quand nous l'avons détaché, il
s'est jeté sur l'eau, il avait grande soif.




Enquête
réalisée par l'ASSOCIATION sur maltraitance de chien
à Fayence, Voici la photo du chien en question qui s'était
échappé et attérris dans le jardin d'un voisin,
cherchant nourriture et eau.


En
voici le rapport de l'AG que vous retrouverez sur la page l'Association
avec les rapports des années précédentes
cliquez sur chaque image pour la faire défiler et sur "Echap"
pour en sortir merci
A l’ordre du jour :
Rapport moral, Rapport financier et vote pour quitus, Rapport d’activités
et Questions diverses. Un apéritif vous sera offert.
Nous avons reçu un chèquede 300€
de Chloé et les artistes un grand merci
A
Adopter en urgence:
Un berger australien castré de 6 ans,
Chanka, qui a des problèmes de comportement avec ses congénères.
Il est toutefois adorale avec l'humain et également avec
Indy. Et Un setter anglais castré, Indy 6 ans également.
Il est vraiment adorable. lls sont tous les 2 pucés et vaccinés
Contacter Jessica Amoros 0770079326
   
L'association Sans fers ni mors a oeuvré
pour sauver des chevaux maltraités, mals nourris sur la commune
des Adrets de l'Estérelle . Nous nous sommes rendu sur place
pour constater la maigreur des chevaux malgré la nourriture
apportée par le propriétaire. Grâce aux actions
combinées de la Mairie et des associations, les chevaux ont
été saisis et emmené au refuge de la SPA.
Nous
cherchons des bénévoles pour assurer des actions ponctuelles
auprès des animaux.
Mais également pour assurer des permanences pendant les manifestations.
ci après
la plainte déposée
auprès du Procureur de la République concernant une
maltraitance sur 2 chiens
Les
dates des manifestations prochaines :
• Marché de Noel le 13 décembre Fayence
• 7 février à 18h30 Assemblée générale
avec apéritif et douceurs à Tourrettes
• 17 mai à Tourrettes salon du collectionneur
• 3ème dimanche de juin greniers dans la rue Fayence
• 12 et 13 septembre salon Terra Animalia
• Décembre 2020 organisation du marché de Noel
Fayence
• Dates encore non précisées collectes de nourritures
devant les grandes surfaces
Bulletin
d'inscription ici

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