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Association pour la Régulation et la Protection des Animaux Familier

Soutenons le référendon pour les animaux ici

Nous sommes Unis à cette action: journée mondiale pour les animaux

 

Voir le dossier de presse ICI

Programme TERR’ANIMALIA 2020 : 10h00/18h00 (entrée libre)


RENCONTREZ LES ASSOCIATIONS (les 2 jours)
ONE VOICE Droit absolu des animaux au respect.
SEASHEPHERD—Protection des océans et du vivant
A.S.P.A.S –Protection des animaux sauvages
SOPTOM –Protection et sauvegarde des tortues
SANS FERS NI MORDS –Protection des équidés
A.R.P.A.F –Stérilisation des chats errants et protection des animaux familiers
PARTI ANIMALISTE – Défense du statut animal
KALAWEIT—Protection des gibbons en Indonésie
PAPAYE INTERNATIONAL –Protection des chimpanzés
S’PECE—Protection, de l’environnement et des espèces.
FROM JOY TO ANIMAL –Communication animale
ANIMAUX SANS FRONTIERE (dimanche )
L214 (dimanche )Protection animale, conditions d’élevage.
C’EST ASSEZ (dimanche) -Protection des Cétacés, lutte contre les delphinariums
LA FONDATION B.BARDOT - Protection animale.
AU SERVICE DES ANIMAUX 06 –sauvetage et stérilisation

SAMEDI ET DIMANCHE
EXPOSITION DES ŒUVRES DE Carole Anne et Chrystel LELEU sur le thème de l’animal – peinture et dessins.

SAMEDI 12 SEPTEMBRE
LES ANIMATIONS
14h30 ATELIER ENFANTS « Dessin » animé par Chystel LELEU Artiste peintre .
JEUX DE L’OIE : animé par l’association S’PECE
EXPOSITION de L 214 « les animaux d’élevage »
15h00 CONFERENCE de l’association S’PECE « Les requins sont ils nos amis ou nos ennemis ?
16h30 CONFERENCE « La nutrition éthique »Par Me PUTZ Nutritioniste, naturopathe et Mr HOUMRIA Sophiane cardiologue
17h30 Cinéma «MARCHE AVEC LES LOUPS » de JM BERTRAND—Salle Iris Barry .Entrée libre
DIMANCHE 13 SEPTEMBRE
11h00 Arrivée de la course « Courir pour un animal » Théme Contre la chasse à la glue. Mahamadou SIRIBIE de
l’ Association « le sport au service des animaux »
Exposition de L 214
JEUX DE L’OIE, animé par l’Association S’PECE
15h00 CONFERENCE par l’association C’EST ASSEZ « Pour une France sans delphinarium »
17h OO Cinéma : PEACEABLE : Parole d’éleveurs qui ont cessé de l'être, pas par contrainte économique, mais parce qu'ils n'ont pu continuer d'ignorer la sensibilité, la personnalité et l'intelligence des êtres vivants qu'ils conduisaient à l'abattoir .Salle Iris Barry .Entrée libre
En raison de la pandémie de COVID ce programme est suceptible d’être modifié


INFOS +
Food truck Just vegan -dimanche
Buvette : sur place les 2 jours
Les chiens de petite et moyenne taille sont acceptés sur le salon en extérieur uniquement et doivent être tenus en laisse.
Chiens catégorisés interdits.
COVID : Port du masque obligatoire sur tout l’espace du salon.
Gel hydroalcoolique à l’entrée .








Gangrénée par le lobby de la chasse, la Société Centrale Canine est CONTRE le référendum pour les animaux.

 

Peut-être en avez-vous déjà entendu parler : dans le domaine de la Protection Animale, le Référendum pour les Animaux est sur toutes les lèvres(1).

Ce référendum a pour but de permettre, grâce au R.I.P. (Référendum d’Initiative Partagée), aux citoyens et citoyennes de soumettre une proposition de loi. Ce projet propose 6 nouvelles mesures :
Et notamment, l’interdiction de traquer, torturer, et abattre des animaux pour se divertir : la chasse à courre.
Les six mesures proposées par le Référendum sont les suivantes :
- L’interdiction de l’élevage en cage
- L’interdiction des élevages à fourrure
- La fin de l’élevage intensif
- L’interdiction des spectacles avec animaux sauvages
- La fin de l’expérimentation animale quand une alternative est possible
- L’interdiction de la chasse à courre

C’est sur cette dernière mesure que nous allons nous pencher – car elle touche directement les chiens.

La chasse à courre est pratiquée par 300 à 400 riches aristocrates en France – une minorité. Elle consiste à traquer un animal, souvent un cerf, jusqu’à épuisement à l’aide d’une meute de chiens et de cavaliers.

Le but n’est pas de se nourrir – le corps de l’animal est ensuite jeté aux chiens ; la tête est utilisée comme trophée.

Le but n’est pas non plus d’abattre l’animal sans souffrance. Au contraire, la poursuite et la mise à mort sont volontairement longues et scénarisées(2). La bête est choisie par les chasseurs ; traquée toute la journée jusqu’à l’épuisement ; affaiblie à coups de morsures ; puis achevée à l’arme blanche.

Cette torture a pour unique objectif de divertir quelques centaines de chasseurs, assez riches pour s’offrir des chevaux, et une meute de chiens sortis que quelques fois par an au moment de la chasse.

Parlons-en justement, de ces chiens.
Les chiens de vénerie sont considérés comme des outils de travail.
Regardez les enquêtes et sauvetages réalisés par des associations de protection animale. La plupart des rescapés sont des chiens issus d’élevages de chasse.

Par exemple, en juillet dernier, 30 chiens de chasse ont été retrouvés attachés dans une forêt, livrés à eux-mêmes, affaiblis et malades. Personne ne s’occupait d’eux – normal, ce n’était pas la saison de la chasse.

Il ne s’agit pas d’un cas isolé. Les chiens de vénerie ont la vie dure.
Ils passent leur temps enfermé dans des chenils étroits, les uns sur les autres.

S’ils tombent malades, personne ne les soigne – après tout, pourquoi s’embêter à payer un vétérinaire ?

Quelques jours avant la chasse, on les affame, afin de les rendre plus nerveux.

Ces chiens ne connaissent ni le confort d’un foyer ni la chaleur d’une caresse. Ils sont élevés dans l’unique but de servir les chasseurs.

Il semblerait donc logique que tous les acteurs du monde canin se prononcent en faveur du référendum pour les animaux, n’est-ce pas ?
Et bien non. La Société Centrale Canine s’est prononcée contre – dans l’unique but de maintenir la chasse à courre !
Dans un communiqué du 5 août 2020, la SCC (Société Centrale Canine) déclare :

« [Le Référendum d’Initiative Populaire pour les Animaux] vise, entre autres mesures, à obtenir l’interdiction de la chasse au chien courant (chiens courants, terriers et teckels). La Société Centrale Canine n’est pas une organisation cynégétique, mais nous savons qu’une telle interdiction aboutirait à l’extinction de plus de 40 races sur les 58 races nationales françaises. (…)

En conclusion, nous nous engageons fermement sur :
- Le maintien et la défense des races patrimoniales françaises.
- Le maintien des activités de sélection pratiquées en France depuis plus d’un siècle voire plusieurs siècles. »

En bref : la SCC refuse de soutenir le Référendum pour les Animaux… afin de protéger la chasse à courre(3).

Son excuse : interdire la chasse à court reviendrait à l’extinction des races de chien de chasse.

Mais bien sûr. Le combat de chiens a été aboli depuis longtemps ; et pourtant, on retrouve toujours des Staffs, des Rottweilers, des Bouledogues Anglais, des Bulls Terrier, qui mènent une vie heureuse au sein d’une famille aimante. Cette interdiction a été une aubaine pour eux.

Ce ne sont pas 300 chasseurs qui entassent leurs animaux en chenil pour les sortir une fois par an, qui vont « sauver » des dizaines de races. On n’est pas dupes.

L’immense majorité des éleveurs, censée être représentée par la SCC, se sent trahie.

La plupart des éleveurs exercent leur métier par passion pour le chien. Pour eux, le Référendum est une bonne nouvelle. Alors quand la SCC déclare se porter parole en étant pour la chasse à courre, et contre le référendum, cela donne une bien piètre image de leur métier.

Le problème est que la SCC est complètement gangrénée par le lobby des chasseurs.

Le président de la SCC, Gérard Thonnat, est un spécialiste de la chasse, qu’il pratique avec ferveur. (4)

Pas étonnant, donc, que lui et ses petits copains se prononcent contre le référendum.

Les éléphants peuvent continuer d’être exploités dans des cirques ; les poulets, porcs, et lapins élevés dans des cages minuscules et insalubres ; les Beagles inlassablement soumis à des tests douloureux… Tant que ces messieurs pourront satisfaire leurs caprices, et mettre à bas des proies torturées et à bout de souffle.

Le divertissement prime.
Ce n’est pas la première fois que la SCC défend les chasseurs.
Récemment, elle a permis (et même encouragé !) l’organisation de test d’aptitude à la chasse des chiens nordiques :
Lors de l’affaire du chien Curtis, et de son humaine Elisa Pilarski, un « comportementaliste » représentant la SCC avait dit, lors d’une émission sur RMC : « [Les Staffs] sont particulièrement connus pour leur agressivité dans leur comportement interspécifique » – c’est-à-dire envers les autres espèces(5). Comme l’Homme, par exemple.

La SCC est sensée promouvoir chaque race, sans discrimination – et là, en sous-entendant que les Staffs sont des monstres sanguinaires capables de manger leur propre maître, elle fait exactement le contraire.

Curtis, comme tous les chiens catégorisés, est condamné pour « délit de sale gueule », et les chasseurs, également suspectés dans cette affaire, s’en sont encore une fois bien tirés.

Le lobby de la chasse est clairement très actif au sein de la SCC.

Heureusement, elle n’est pas la représentante des passionnés du chien. Vous l’êtes. Vous aussi avez votre mot à dire.

Je vous invite à vous rendre sur le site du Référendum pour les Animaux. Si vous souhaitez vous engager, vous pouvez apporter votre soutien au référendum. Je l’ai fait, et plus on sera nombreux, plus ces réformes pourront aboutir.

Aller sur le site du référendom

 

Pour donner suite au décès d'un ami, nous recherchons d'urgence une nouvelle famille ayant un jardin pour MAYA

C'est un superbe chat de 6 ans, vacciné et opéré.

Il est habitué à sortir.

Il est affectueux et assez craintif. 06 12 51 61 15

Extrait des nouvelles de Chiens vie et santé

Comment casser une voiture pour sauver un chien de l’hyperthermie

Chaque été, des chiens sont laissés dans des voitures sans surveillance Un coup de chaud tue un chien en moins de 20 minutes dans une voiture, même par temps doux.Devant un chien enfermé dans une voiture en plein mois d’août, la plupart des gens chercheront à le sortir de làMalheureusement, même s’il faut agir vite, il y a des étapes à suivre si vous voulez éviter d’avoir des problèmes. Le propriétaire de la voiture peut se plaindre.

Il ne suffit donc pas de casser la vitre et de quitter les lieux avec le chien.

Voici les précautions à prendre pour sauver un chien de l’hyperthermie dans une voiture?:

Téléphonez au commissariat ou à la gendarmerie.
Expliquez la situation et demandez l’assistance d’un représentant de l’ordre.
Téléphonez à une association de protection animale locale.
Informez-la aussi de la situation et expliquez-lui que vous pourriez être amené à casser une des vitres.
Si vous n’avez toujours pas la présence d’un représentant de l’ordre et que la situation se complique, demandez à deux personnes de rester auprès de vous. Ils pourront témoigner de votre bonne foi si besoin.
Cassez une vitre latérale et emmenez le chien dans un endroit frais jusqu’à l’arrivée du représentant de l’ordre.


En expliquant bien la situation aux forces de l’ordre, en ayant des témoins et avec l’association de protection animale qui vous épaulera, vous ne devriez pas avoir de problème si le propriétaire de la voiture vous demande des comptes.

La loi est aussi très claire à ce sujet?: «N’est pas pénalement responsable la personne qui, face à un danger actuel ou imminent qui menace elle-même, autrui ou un bien, accomplit un acte nécessaire à la sauvegarde de la personne ou du bien, sauf s’il y a disproportion entre les moyens employés et la gravité de la menace.?»
Les chiens laissés dans des voitures ne sont pas les seuls à succomber à une hyperthermie.
Même si vous faites très attention à votre chien, le risque zéro n’existe pas.

Certains animaux sont plus sensibles que d’autres et peuvent facilement subir un coup de chaud.

C’est le cas lorsque le chien :

Est simplement attaché en extérieur sous le soleil,
Est obèse,
A des problèmes cardio-respiratoires (souvent lié à l’obésité),
A fait un exercice important,
A des difficultés à respirer à cause de sa race et ne peut donc pas se protéger de la chaleur correctement. C’est le cas des chiens à la gueule «?écrasée?» (Boxer, Bouledogue, Carlin, Pékinois…)

C’est à vous de prendre vos précautions pour lui éviter cette souffrance.

Évitez les sorties durant les heures de fortes chaleurs (aux alentours de midi), mettez toujours un bol d’eau fraîche à disposition et évitez de laisser votre animal dans un espace clos ou peu aéré.

Comment sauver son chien en adoptant les bons gestes.

Si malgré vos précautions votre chien commence à:

Avoir de la fièvre,
Faire des malaises, des pertes de connaissances,
Avoir les muqueuses qui deviennent bleues ou violacées,
Trembler comme s’il avait froid,
Respirer de manière accélérer avec la bouche qui reste ouverte,
Vomir,
Avoir des diarrhées,
Ou être dans un état comateux, c’est qu’il est peut-être victime d’un coup de chaleur.

Sachez que pour soigner un chien victime d’un coup de chaud, il y a deux écoles.

Certaines personnes pensent qu’il faut mettre son chien progressivement dans de l’eau froide pour ne pas provoquer un choc thermique1. Les vaisseaux qui permettent l’évacuation de la chaleur se contracteraient brusquement. Avec le changement important de la température du corps, ils ne pourraient plus l’évacuer correctement.

D’autres, comme le Docteur Thierry Bedossa, vétérinaire et comportementaliste, considèrent qu’il faut immédiatement le plonger dans de l’eau très froide voire, lui mettre un sac de glaçons sur la tête.

Difficile de savoir ce qu’il faut faire entre ces deux méthodes complètement opposées.

Par précaution, je préfère refroidir mon chien progressivement et éviter un choc thermique.

Pour savoir comment procéder, je vous conseille d’immédiatement appeler votre vétérinaire. Il vous conseillera sur les soins à appliquer pour sauver votre chien.

Évitez de le transporter directement chez le vétérinaire. Le temps de trajet peut être fatal – surtout si votre chien a fait son coup de chaud dans une voiture.

Rappelez-vous que le plus important est de rafraîchir votre chien. Vous le ferez plus rapidement chez vous, dans votre baignoire, que dans votre voiture en vous rendant chez votre vétérinaire.

Je vous conseille aussi de sortir l’animal de l’environnement dans lequel il a déclenché ces symptômes. Lui trouver un endroit frais est primordial.

Présentez-lui de l’eau fraîche mais ne l’obligez pas à boire. Votre chien saura s’il en a besoin et en quelle quantité.

Une fois que votre chien s’est rafraîchi, emmenez-le chez votre vétérinaire.

Une perfusion peut s’avérer nécessaire pour réhydrater correctement l’animal. Votre vétérinaire va aussi vérifier les fonctions rénale et cardiaque de votre chien, surveiller sa coagulation, et même devoir lui administrer des corticoïdes pour éviter un œdème mortel au cerveau dans certains cas.

Rappelez-vous que si vous vivez mal la chaleur, elle est encore plus étouffante pour votre chien.

 

Votre chien pourrait vivre le double de la moyenne… Si ce n’était pour ces 3 fléaux.

1/ Une explosion de 900% du diabète chez le chien
Tel le prouve l’étude1 réalisée par ‘Animal Friends’, en Grande-Bretagne, qui a suivi des milliers d’animaux pendant 5 ans.

Les résultats sont ahurissants. Les 5 dernières années, le nombre de diagnostiques de chiens diabétiques a été multiplié par 9. 9 fois plus de chiens qui souffrent d’une maladie qui raccourcit leur espérance de vie, et qui pourtant aurait pu être évitée.

Le chien souffre d’une soif intense, constamment. Il se vide de son énergie, il maigrit de jour en jour. Il vomit, et urine en grande quantité. Souvent, le diabète est accompagné d’une cataracte, ou de cystites à répétition

2/ la croissance exponentielle de l’obésité morbide

Selon une étude menée aux États-Unis, tous les 5 ans, les cas d’obésité doublent chez le chien2. En France, un tiers des chiens est en surpoids sévère3. Résultat direct sur nos chiens : l’arthrose explose ; des infections rénales et urinaires se multiplient ; les foies se détériorent.

Paradoxalement, on a aussi une hausse des stérilisations systématiques pour un peu toutes les raisons, et une hausse de la vente des croquettes chez les vétérinaires (alors qu’avant, nos chiens mangeaient des restes). Mais ne tirons pas de conclusions hâtives.

3/ un chien sur deux meurt du cancer

C’est sans doute la pire statistique sur les maladies qui pourtant, pourraient être évitées. La moitié de nos chiens succombe à cause d’un cancer4 – souvent prématurément. De tous les animaux sur la planète, c’est la première victime des tumeurs. Et dans la majorité des cas, elles auraient pu être évitées.

Pourquoi nos chiens ne vivent-ils pas plus longtemps ?
Et que pouvons-nous faire pour profiter le plus longtemps possible de notre plus fidèle compagnon ?

Le Dr Levin est un des chercheurs qui a participé à cette étude. Il explique que, dans les années 70, alors qu’il sortait d’école vétérinaire, la moyenne d’âge du Golden Retriever était de 17 ans. Aujourd’hui, la plupart d’entre eux meurent à 10 ans.

Dans 10% des cas, les cancers sont génétiques. On ne peut pas faire grand-chose.

Mais qu’en est-il des autres 90% ? Ces chiens-là meurent de causes environnementales.

9 cancers sur 10 pourraient être évités… en changeant quelques habitudes de vie.


Voici les 5 facteurs sur lesquels votre influence va être décisive pour la santé de votre chien.
Les chercheurs se sont penchés sur ces 90% de cancers restants chez nos chiens. Ces cancers ne sont pas génétiques : alors quelle en est la cause ?

Les chercheurs ont déterminé 5 facteurs décisifs :

Les toxines et la pollution - les antiparasitaires à base de pesticides, par exemple, ont des conséquences néfastes et immédiates sur la santé de nos chiens.

La sédentarité : nos chiens passent la journée allongés dans leur panier ; hormis l’heure de promenade quotidienne, on ne sait plus les occuper, alors qu’il existe une multitude d’activités faciles et enrichissantes pour votre chien.

Les infections diverses, comme les vers du cœur, les tiques, ou les différentes bactéries qui pourraient être évitées avec les aliments adéquats et un système immunitaire solide.

Le stress, qui a considérablement augmenté chez le chien depuis que la société nous impose d’avoir un chien « obéissant » à tout prix ; depuis qu’on banalise les coups de collier, les secousses par la peau du cou.

Et, le facteur le plus important : l’alimentation. Une mauvaise alimentation va aggraver l’obésité chez le chien, mais surtout lui faire avaler des quantités phénoménales de toxines quotidiennement.

 

 

 

 

En refuge, un labrador a beaucoup plus de chance de se faire adopter qu’un mélange d’on ne sait quoi. Est-ce à cause du prestige de la race ? Parce que les gens pensent (à tort), qu’avec telle ou telle race de chien, ils obtiendront le caractère rêvé pour leur animal ? Qui sait.
Une minorité de chiens de race viennent d’élevage consciencieux. Ces derniers prennent soin de varier au maximum le patrimoine génétique de leur cheptel. Par exemple, ils sont prêts à aller dans un autre pays pour trouver le papa de leur future portée. Ainsi, ils s’assurent que le chien reproducteur n’est pas un cousin éloigné. On évite la consanguinité, et on donne aux chiots une chance d’être en excellente santé, toute leur vie.

Hélas, la majorité des chiens de race ne bénéficient pas d’un tel patrimoine génétique.

Dans les élevages intensifs, il est bien plus rentable de faire reproduire toujours le même mâle, avec quelques femelles. Certaines qui ont un lien de consanguinité très proche avec leur reproducteur. Par exemple, il n’est pas rare de laisser un père s’accoupler avec sa progéniture… générant ainsi de graves tares génétiques.

Mais peu importe ! Du moment qu’on obtient un carlin avec un museau très écrasé ; un Basset avec les paupières très tombantes ; ou un Shar-pei avec la peau très plissée, on est prêt à tout. Car après tout, c’est ce que le consommateur recherche…

Et c’est ainsi que certaines tares se sont développées chez les chiens de race. Voici les plus communes.
Des Rottweilers dysplasiques et des Teckels paralysés Une recherche menée par des chercheurs à l’université de California-Davis a étudié 24 maladies génétiques répandues chez le chien, de 1995 à 2010¹. Différents cancers ; troubles cardiaques ; endocriniens ; orthopédiques…

Sur ces 24 maladies, 10 étaient manifestement plus répandues chez les chiens de race (indépendamment d’éventuels liens de consanguinité).

Celles qui étaient aussi communes chez les croisés que les chiens de race étaient, entre autres :

Tous les types de cancer (ce qui n’est pas surprenant, puisque 90% des cancers sont liés à des causes environnementales)² ;
Certaines maladies cardiaques, comme la communication interventriculaire
La dysplasie des hanches (bien que souvent, cette maladie soit plus commune chez les croisements de grandes races, comme le croisé labrador, Bouvier Bernois, Rottweiler…).

Mais 10 maladies sont effectivement plus présentes chez les chiens de race :

La sténose aortique, une maladie cardiaque très présente chez le Terre-neuve, mais aussi le Berger Allemand, le Boxer, le Golden Retriever et le Rottweiler. Le Basset Hound, le Bull-terrier, le Bouledogue, le Corgi et le Dogue allemand ne sont pas non plus à l’abri³.

Cette maladie est un rétrécissement de l’aorte, un gros vaisseau qui part du cœur, pour répartir le sang oxygéné dans tout l’organisme. Chaque effort devient coûteux pour le chien : il peut faire des syncopes, et les crises cardiaques sous forme d’une mort subite ne sont pas rares.

La cardiomyopathie dilatée est quand les cavités cardiaques, et notamment les ventricules, sont dilatées. Le cœur ne peut ainsi par assurer sa fonction de pompe, conduisant à l’insuffisance cardiaque, et un risque de mort subite.

Il est particulièrement répandu chez les très grandes races : le Berger Allemand, le Boxer, le Dogue de Bordeaux, le Caniche, le Golden Retriever, le Rottweiler, le Labrador, le Mastiff…

L’hypothyroïdie, quant à elle, est particulièrement répandue chez le Beagle, le Caniche, le Chow-chow, le Doberman, le Golden Retriever, le Poméranien, le Setter irlandais, le Shar-pei, le Shetland, et le Teckel. Les symptômes sont très variables : un manque d’appétit avec pourtant une prise de poids ; fatigabilité ; intolérance au froid ; poil terne et clairsemé…

La dysplasie du coude, où l’articulation mal emboîtée mène à des douleurs arthrosiques sévères, est très répandue chez le Labrador, Golden, Rottweiler, Bouvier Bernois, Berger Allemand, Saint Bernard, Mastiff, et le Basset Hound.

La dégénérescence des disques intervertébraux, qui cause de fortes douleurs lombaires aux chiens, est extrêmement répandue chez le Teckel – sans grande surprise, puisque le standard des élevages a voulu allonger son dos au maximum, au mépris de sa santé. Pour les mêmes raisons, le Corgi et le Basset sont particulièrement touchés, mais aussi d’autres races, majoritairement de petite taille, comme le Beagle, le Bouledogue, le Shitzu, le Carlin, le Jack Russel, le Lhassa Apso, le Caniche toy, et le Cavalier King Charles.

Certaines races sont aussi plus sensibles aux allergies, et notamment aux dermatites, comme le Bouledogue français ou anglais, le Westie, le Bull-terrier, le Jack Russel, le Labrador, le Golden, et le Boxer.

Le retournement d’estomac, lui, touche particulièrement le Saint Bernard, le Setter Irlandais, le chien de Saint-Hubert, le lévrier irlandais, et le Dogue allemand.

Les Caniches toy, les Terriers australiens à poil soyeux (très proches du Yorkshire), les Terriers de Boston (très proches du bouledogue) étaient très sujets aux cataractes.

L’épilepsie, quant à elle, touchait particulièrement les Beagles, Épagneuls Papillon, et les Caniches.

Enfin, le Shunt du foie (une dérivation de la circulation sanguine d’où résulte un mélange des sangs artériels et veineux), touche particulièrement le Bichon Maltais, le Yorkshire, et le Carlin.

Petits conseils concernant les friandises et l'éducation de votre chien

Les 3 caractéristiques d’une excellente friandise

L’appétence


En éducation, la friandise doit avoir de la valeur pour votre chien. Choisissez une récompense appétissante. Donnez-lui une bonne raison de s’asseoir et de faire le beau plutôt que d’aller jouer avec ses copains.

Une erreur fréquente est de donner au chien des croquettes en guise de friandise. Certes, on contrôle ainsi son poids plus facilement. Mais les croquettes ont peu de valeur : Médor en ingère des dizaines et des dizaines quotidiennement.

N’ayez donc pas peur de salir vos poches avec des friandises humides (ex. : knackis), des morceaux de viande séchée, des boulettes de panse. Médor vous en sera reconnaissant, et son éducation sera un réel plaisir.


Une taille adaptée


Pendant l’apprentissage d’un nouvel exercice, il faut récompenser très régulièrement. C’est primordial pour entretenir la motivation du chien.

Ainsi, je privilégie toujours une friandise la plus petite possible. Mieux vaut donner 5 fois 2 g de Knacki, qu’une fois 10 g. L’apprentissage de l’exercice est ainsi plus aisé, et mes chiens ne risquent pas d’être en surpoids.

Gardez en tête que nos chiens sont bien plus petits que nous. Donner une tranche de saucisson à un chien de 10 kg revient à donner 7 tranches à une personne de 70 kg.


Une composition optimale


On applique les mêmes règles que pour les croquettes : un maximum de viandes, un minimum de glucides, et aucun additif chimique.

Voici pour exemple la composition de la friandise préférée de Maki : de la viande de dinde séchée à basse température... Et rien d’autre?!

Ces petits bâtonnets de viande séchée sont pratiques, puisqu’on peut les découper en petits morceaux et récompenser à foison lors de séances éducatives. Car n’oublions pas : même si la composition de ce type de friandise est optimale, leur apport calorique reste non négligeable, alors surtout n’hésitez pas à les couper en petits morceaux.

Autre technique : si au cours d’une journée, vous avez beaucoup récompensé votre chien, diminuez sa prochaine portion de croquettes en fonction. Ainsi, il ne risque pas de prendre du poids.


La friandise propulsera l’éducation de votre chien. Voici comment.


Comment la friandise entre-t-elle dans un cycle d’apprentissage? Pour mieux illustrer ma méthode, je vous donne un exemple concret : apprendre à votre chien à sauter sur une chaise, s’asseoir dessus, et lever la patte.
Segmenter l’exercice, c’est mettre son chien en position de réussite
L’apprentissage s’organise par étape. Ainsi, vous placez votre chien dans une position de réussite. Apprendre à Maki à sauter sur la chaise, s’asseoir et donner la patte en une seule fois est très difficile. Il échouera des dizaines de fois avant de réussir l’exercice. C’est ainsi qu’un chien perd sa motivation. Je segmente donc l’exercice en 4 étapes. Chacune a sa dose de récompenses.

Première étape : lui apprendre à s’asseoir – et récompenser chaque fois que l’exercice est réussi. Facile?!

Deuxième étape : donner la patte — donner une friandise dès que le chien lève la patte, puis quand il la pose dans votre main.

Troisième étape : poser ses pattes avant sur la chaise — récompenser.

Quatrième étape : sauter pour y mettre également ses pattes arrière – récompenser.

Enfin, vous associez ces quatre étapes en un petit numéro, au cours duquel vous récompensez régulièrement. Sauter sur la chaise (puis donner une friandise), s’asseoir (friandise), donner la patte (friandise), puis descendre de la chaise (friandise).

Peu à peu, réduisez les friandises jusqu’à ce que le chien ait compris l’exercice : vous ne donnerez alors une friandise qu’une fois l’intégralité du numéro effectué.
Récompenser au quart de seconde près
Le timing de la récompense est primordial. Prenons l’apprentissage du «?donne la patte?». Votre chien doit comprendre qu’au moment où il lève la patte, c’est gagné. Il faut donc le récompenser dans la demi-seconde qui suit.

Pas très pratique : farfouiller au fond de ma poche pour trouver une friandise prend parfois 3 à 4 secondes. D’ici là, Maki a le temps de se lever, d’aboyer, et de me sauter dessus pour me lécher le visage. Quand il reçoit enfin sa friandise, il ne sait plus quelle action je récompense.

C’est pour cela qu’il est crucial d’associer la friandise à un signal sonore. Un son que vous émettez systématiquement avant de donner la friandise. Exemple : un mot encourageant, avec toujours la même intonation joyeuse, comme un «?ouiii?!?».

Un autre outil formidable est le «?clicker?» — un petit boitier qui clique, et qui fait des miracles dans l’éducation du chien.

Voir la vidéo sur le site

 

 

Trop souvent, c’est la croquette qui est responsable du tartre, des problèmes digestifs, de l’obésité, de la mauvaise haleine…

je souhaite vous parler d’une méthode d’alimentation alternative, qui commence à voir le jour. Cette méthode, la plus naturelle possible, s’appelle le BARF — «?Biologically Appropriate Raw Food?». En français : «?nourriture crue biologiquement appropriée?».

Le BARF : le régime carnivore par excellence
Le principe du BARF : une alimentation naturelle, la plus proche possible de celle d’un chien à l’état sauvage. En moyenne, cela donne environ :

30 % d’os charnus
30 % de viandes diverses (dont 5% de poisson)
20 % d’abats (foie, panse, cœur…) ;
20% de fruits et légumes divers ;
Parfois, un œuf avec sa coquille broyée?; ou autres compléments alimentaires tels que l’huile de sardines.

Le tout étant toujours donné cru. On retrouve ainsi le régime du loup, qui attrape une proie. Le loup mange tout le muscle, se nourrit des abats, ronge les os… Occasionnellement, il mange aussi des fruits murs tombés des arbres. Son apport en végétaux se fait aussi par la panse de ses proies, souvent remplie de verdure.

Il est bon de rappeler que le chien partage 99,8 % de son ADN avec le loup… Il parait donc logique que leurs besoins nutritionnels soient semblables.
Poil brillant, silhouette d’athlète, haleine saine, appétit, immunité… Grâce au BARF
Voici les bienfaits du BARF que j’ai trouvé dans mes recherches. Je les ai réellement observés sur Pénélope, Maki et Merlin. Absolument bluffant.

Allez donc visiter son site internet, il explique tout ça mieux que moi.

 

Attention suite au COVID 19

Plusieurs chats ( et même des chiens ) ont été reçus chez leurs vétérinaires ces derniers jours pour de nouveaux motifs de consultation:
- Le coma éthylique pour les chats lavés au gel hydroalcoolique
- Des intoxications et même des brûlures cutanées à cause d'utilisation de désinfectant sur les animaux.

Si vous voulez nettoyer vos animaux au retour d'une ballade utilisez de l'eau et du savon et rincez bien ensuite !

 

Article rédigé en partie par Chiens vie et santé merci à Claude Lefevre

Avez-vous déjà été témoin d’un acte de maltraitance – sans savoir comment agir ?

Peut-être était-ce un animal enfermé dans une voiture au soleil ; un chien qui n’est jamais sorti d’un appartement ; ou qu’on entend se faire battre régulièrement.

Souvent, on se sent démunis face à ces situations. Faut-il attendre que le chien suffoque avant de briser la vitre de la voiture ? Qu’il soit sur le bord de la mort avant de le retirer de force à ses propriétaires ? La loi vous le permet-elle ?

Nous avons une définition très large de la maltraitance. Nous considerons que:

—laisser un chien vivre dehors attaché à un piquet, c’est le maltraiter.

—Ne jamais le promener, c’est le maltraiter.

— Le nourrir à base de restes de pâtes et lui donner des sucres à en devenir obèse, c’est le maltraiter.

—Un chien qui n’a pas d’eau ou de nourriture équilibrée à sa disposition, ou en quantité insuffisante.
—Un chien qui, en cas de blessure ou de maladie, n’est pas soigné jusqu’à son rétablissement.
—Un chien enfermé dans un local sans lumière, insuffisamment chauffé ou surchauffé, ou dans des conditions incompatibles avec ses nécessités physiologiques.

Malheureusement la loi ne punis pas un propriétaire si:

un chien qui vit dehors attaché à un piquet n’est pas considéré comme maltraité - du moment qu’il a une niche et une laisse d’au moins 3 m de long. Pas besoin de le promener ,de le caresser ou de l’occuper.

C’est une évidence : les lois sont complètement déconnectées de la réalité ; de ce dont un chien a réellement besoin pour vivre, tout simplement. Non, il ne suffit pas d’une niche, d’une gamelle d’eau et de quelques croquettes pour échapper à la maltraitance !

À nous d’agir ! Que faire si vous êtes témoin de maltraitance ?


Nous avons le devoir de dénoncer ces actes de maltraitance quotidienne. Nous ne pouvons pas uniquement compter sur la justice pour les sauver. Chacun doit faire sa part.

Mais comment faire ? Qui appeler ?

Il faut distinguer deux cas.
Premier cas : un chien est maltraité, négligé, mais il n’y a pas d’urgence.


La première chose à faire est de prévenir les autorités. Il peut s’agir de la gendarmerie, du commissariat de police (17), ou des services de la préfecture. Vous pouvez également contacter les services vétérinaires de la DDPP (Direction Départementale de la Protection des Populations).

Vous pouvez aussi nous appeler . Voire le numéro en page devenir membre.

Nous avons des bénévoles pour enquêter, monter un dossier, collecter des preuves afin de porter plainte. Seul inconvénient : enous ne pouvons pas saisir un animal maltraité sans être mandatées par les autorités.

En attendant l’arrivée des associations, rien ne vous empêche de collecter des preuves vous-même. Prenez des photos du pauvre chien enfermé sur le balcon. Filmez les bourreaux qui traînent leur chien derrière une voiture. Recueillez les témoignages des voisins qui tous les soirs entendent l’animal se faire battre.

Et retirer l’animal violenté pour le sortir de ce calvaire ? Ce n’est malheureusement pas si simple. La loi vous interdit de pénétrer dans une propriété privée, d’agir avec violence, ou de recourir à des moyens illicites. Si vous kidnappez un chien battu pour le sauver, vous pourriez tout simplement vous faire accuser de vol.

Deuxième cas : la situation d’urgence.

Une situation pour laquelle une intervention immédiate est nécessaire, sans quoi l’animal va mourir. Dans une telle situation, appelez tout de suite le commissariat de police -au 17 ou au 112.

S’ils mettent trop de temps à arriver, et que le chien est en danger de mort imminente, alors vous pouvez exceptionnellement agir. Vous pouvez entrer dans une propriété privée. Vous pouvez retirer le chien à son propriétaire. Cela s’appelle l’état de nécessité.

L’article 122-7 du code de procédure pénale vous autorise à intervenir « face à un danger actuel ou imminent qui menace elle-même, autrui, ou un bien ». Il faut néanmoins que votre réaction soit proportionnée à la gravité de la menace. Quand vous le pouvez, essayez juste de parler avec le malfaiteur. Proposez-lui de le décharger de son chien en le prenant chez vous. Et si c’est impossible, essayez au maximum de récolter des preuves de sa maltraitance avant d’agir. Appelez une association de protection animale pour lui décrire la situation, et la prévenir que vous allez agir. Cela vous évitera d’éventuelles poursuites pour vol.

La justice n’est malheureusement pas du côté de nos amis poilus. C’est à nous de faire en sorte que le peu de lois qui les protègent soient appliquées.

Voici la dernière action menée par notre Association

Avec l'intervention de la Gendarmerie de Fayence et la Police municipale de Tourrettes ainsi que l'aide des Associations "Un coeur entre quatres pattes les Esterets" et "Brigade de Défense Animale et Humanitaire à Puget sur Argens", Notre président accompagné de la secrétaire ont saisis 2 chiens aux "Jardins de Provence à Tourrettes". Malgré une première mise en garde, le propriétaire n'a pas changé son comportement, les chiens étaient attachés à 50 cm de chaine, la femelle avait un abris en bois mais pas le mâle. Quand nous l'avons détaché, il s'est jeté sur l'eau, il avait grande soif.

Enquête réalisée par l'ASSOCIATION sur maltraitance de chien à Fayence, Voici la photo du chien en question qui s'était échappé et attérris dans le jardin d'un voisin, cherchant nourriture et eau.

 

En voici le rapport de l'AG que vous retrouverez sur la page l'Association avec les rapports des années précédentes cliquez sur chaque image pour la faire défiler et sur "Echap" pour en sortir merci

A l’ordre du jour :
Rapport moral, Rapport financier et vote pour quitus, Rapport d’activités et Questions diverses. Un apéritif vous sera offert.

Nous avons reçu un chèquede 300€ de Chloé et les artistes un grand merci

A Adopter en urgence:

Un berger australien castré de 6 ans, Chanka, qui a des problèmes de comportement avec ses congénères. Il est toutefois adorale avec l'humain et également avec Indy. Et Un setter anglais castré, Indy 6 ans également. Il est vraiment adorable. lls sont tous les 2 pucés et vaccinés Contacter Jessica Amoros 0770079326

L'association Sans fers ni mors a oeuvré pour sauver des chevaux maltraités, mals nourris sur la commune des Adrets de l'Estérelle . Nous nous sommes rendu sur place pour constater la maigreur des chevaux malgré la nourriture apportée par le propriétaire. Grâce aux actions combinées de la Mairie et des associations, les chevaux ont été saisis et emmené au refuge de la SPA.

Nous cherchons des bénévoles pour assurer des actions ponctuelles auprès des animaux.

Mais également pour assurer des permanences pendant les manifestations.


ci après la plainte déposée auprès du Procureur de la République concernant une maltraitance sur 2 chiens

 

Les dates des manifestations prochaines :


• Marché de Noel le 13 décembre Fayence
• 7 février à 18h30 Assemblée générale avec apéritif et douceurs à Tourrettes
• 17 mai à Tourrettes salon du collectionneur
• 3ème dimanche de juin greniers dans la rue Fayence
• 12 et 13 septembre salon Terra Animalia
• Décembre 2020 organisation du marché de Noel Fayence
• Dates encore non précisées collectes de nourritures devant les grandes surfaces

 


Bulletin d'inscription ici